Dans un passé lointain, des phénomènes se sont succédé avant d’arriver à notre ère. Il y a 300 millions d’années de cela, le monde était encore sur le point de se former. Le monde qu’on connaît actuellement ne constituait qu’un seul bloc continental, nommé la Pangée. Étendue sur un vaste océan, cette terre abritait des vies dont la majorité des espèces sont éteintes de nos jours.
Une fragmentation lente
Nommée supercontinent, la Pangée était un bloc étendu qui émergeait sur un super-océan appelé Panthalassa. Mais petit à petit, après 100 millions d’années, une fragmentation a sectionné la Pangée en deux pour former deux blocs différents.
Le premier bloc est appelé Laurasie regroupant les futurs Asie, Amérique du Nord et Europe. D’une autre part, il y a eu le Gondwana. Cette partie méridionale sera amenée à devenir les futurs Afrique, Arabie, Madagascar, Nouvelle-Zélande, Australie, Amérique du Sud ainsi que d’autres. Au fil des années, des détachements sont constatés et il y a ceux qui ont subi de fortes collisions. Cela s’explique surtout avec une forte chaleur entraînant un mouvement des plaques lithosphériques, les origines des séparations.
Une diversité répartie
Les fragmentations ont continué à se produire et ont permis l’apparition des continents. Cette séparation a engendré des différences non seulement au niveau de la superficie et des formations géologiques, mais également pour les faunes et flores.
Divers facteurs sont à l’origine de cette diversité territoriale. Ainsi, le territoire du nord et du sud se diffère au niveau du climat, de l’humidité et des saisons. De ce fait, les faunes et flores sont variés avec plusieurs espèces de végétations et des animaux sauvages. De plus, les compositions géologiques de ces continents varient selon sa formation et sa fragmentation. Pourtant, il est à noter que les millions d’années qui ont séparé notre ère de ces temps ont apporté des changements qui ne cessent de s’évoluer.